NOUVELLES
CRITIQUE | 27 OCT. 2023
EDMONTON OPERA
CARMEN
« L’Edmonton Symphony, mené par le premier directeur musical de l’Edmonton Opera, Simon Rivard, a offert un soutien nuancé aux chanteurs. Les bois et cuivres étaient particulièrement excellents, et le jeu de la flûte dans l’Entr’acte précédant le troisième acte était exquis. » (traduction)
OPERA CANADA
CRITIQUE | 26 OCT. 2022
EDMONTON OPERA
TOSCA
« L’Edmonton Symphony était mené de nouveau par le chef en résidence du Toronto Symphony, Simon Rivard, (il avait dirigé La bohème), et l’ensemble a atteint dans son exécution de la partition de Puccini un niveau n’ayant rien à envier à celui d’un orchestre d’opéra expérimenté. Le jeu des cordes, accompagné du son des cloches en arrière-plan dans l’introduction au troisième acte, était exquis et le jeu de la clarinette accompagnant le magnifique air “E lucevan le stelle” de Cavaradossi dans le troisième acte était impeccable. » (traduction)
OPERA CANADA
CRITIQUE | 7 FÉV. 2022
EDMONTON OPERA
LA BOHÈME
« Le chef Simon Rivard a guidé l’Edmonton Symphony Orchestra dans une interprétation remplie de vivacité de l’œuvre bien-aimée de Puccini. Rivard, le chef en résidence du Toronto Symphony Orchestra, a dirigé avec énergie et passion, choisissant des tempos allègres, en particulier durant la scène du marché du deuxième acte. » (traduction)
SCHMOPERA
CRITIQUE | 29 JUIN 2021
AGAINST THE GRAIN
SAVITRI
« La partition atmosphérique et ample est magnifiquement rendue par le chef Simon Rivard et l’ensemble de douze instrumentistes. De fait, Rivard module habilement les abondantes sonorités subtiles de l’œuvre, tout en forgeant adroitement les quelques sommets dramatiques. » (traduction)
LUDWIG VAN TORONTO
CRITIQUE | 28 AVRIL 2021
ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC
LA CINQUIÈME DE BEETHOVEN
« Dès l’Ouverture Carnaval de Dvořák – qui a remplacé l’œuvre contemporaine initialement au programme –, on sent un chef en pleine possession de ses moyens. La musique respire et coule de source. On croirait sentir l’air frais des vallées de Bohème. La fougue du début fait place à une remarquable détente dans la partie centrale. Simon Rivard sait parfaitement ce qu’il fait dans la Cinquième symphonie de Beethoven. Simon Rivard est un chef qui a des idées à revendre, qui a une autorité naturelle et une énergie bien canalisée. Un nom à suivre! »
LE SOLEIL